Des solutions pour supprimer les contenants et emballages plastiques jetables
Elles sont mises en œuvre par la majorité des fabricants de pots plastiques présents sur le salon, qui promettent d’utiliser une part importante, voire totale, de matières plastiques recyclées dans leur fabrication. Les solutions de plaques de transport réutilisables sont en phase de test par les producteurs, les acteurs de la logistique et les distributeurs. D’autres fabricants proposent des matières premières alternatives pour la fabrication de pots et contenants. Il s’agit principalement de matières naturelles et renouvelables, traitées avec des résines naturelles spéciales.
Des solutions pour la protection des cultures
En adéquation avec les contraintes règlementaires, elles se tournent vers la détection précoce des attaques par de nouveaux moyens technologiques et l’application de traitements de précision localisés. D’autre part, les entreprises qui proposent des solutions biologiques présentent aussi de nouvelles innovations : par les méthodes d’application et systèmes de distribution rapide et uniforme des auxiliaires PBI, par l’introduction de nouveaux auxiliaires.
Des alternatives au remplacement de la tourbe dans les substrats
Tous les intervenants s’accordent sur une chose : il faut réduire la tourbe dans les substrats et la remplacer par des matières premières renouvelables afin d’empêcher les émissions de CO2 consécutives à l’extraction. Il y a également unanimité sur le fait que beaucoup d’efforts ont déjà été accomplis, mais que tous les acteurs concernés doivent continuer à travailler en étroite collaboration pour réussir.
Cependant, il y a controverse sur la vitesse à laquelle la consommation de tourbe peut être réduite et les objectifs ambitieux fixés par le gouvernement allemand qui sont à atteindre grâce à des mesures volontaires.
Des solutions d’automatisation, de robotisation, I o T et logiciels d’assistance à la production
En ce qui concerne la partie technique, les progrès sont surtout significatifs dans les domaines de l’automatisation des phases de production (mise en culture au sol ou sur tablette, distançage, ramassage et récolte). La vitesse, la précision, l’amplitude des mouvements possibles dans un espace en 3D, font des bras robotiques articulés de précieux auxiliaires. Ce n’est pas encore vraiment de l’intelligence artificielle (IA) ; il est préférable de parler d’automatisation robotique des processus (RPA).
Les solutions présentées vont vers des systèmes exploitables qui identifient automatiquement les processus à optimiser, qui ont des capacités adaptatives pour apprendre au fur et à mesure à reconnaître, par exemple, les stades de maturité, ou les dysfonctionnements physiologiques. Les logiciels, toujours en évolution, montrent même des capacités prédictives qui visent à éliminer les problèmes avant qu’ils ne surviennent. Les nouvelles possibilités de captation et d’analyse des données deviennent de plus en plus performantes dans tous les secteurs de production.
Des solutions pour le calcul de l’empreinte environnementale anticipé ou obligé
Depuis le lancement du HortiFootprint Calculator (HFC), l’intérêt de cet outil développé conjointement par MPS et LetsGrow.com n’a fait que croître. Celui du marché et de la presse dépasse aussi les attentes. MPS et LetsGrow.com sont sur le point d’étendre le calculateur d’empreinte horticole pour inclure des calculs au niveau des catégories de produits tout en étant entièrement conformes à la méthodologie FloriPEFCR.