Relever le défi du changement climatique
Les atouts de la filière horticole
Avec ses plus de 50 000 entreprises spécialisées, la filière de l’horticulture, du paysage et de la fleuristerie possède une force de frappe efficace pour relever le défi écologique. Mieux encore, elle jouit d’une image très positive auprès de la population française, qui estime le végétal important dans la lutte contre le réchauffement climatique :
- Ils seraient 85 % à considérer que les végétaux préservent l’environnement
- 93 % estiment que les plantes sont bénéfiques pour la qualité de l’air
(« Les Français et le végétal », étude Kantar pour VALHOR et FranceAgriMer, mars 2021.)
L’ADEME (Agence de Transition Écologique et de la Maitrise de l’Énergie) a confirmé cette impression en notant que « le vivant est l’un des atouts principaux de cette transition » en faveur de la réduction des gaz à effet de serre et de la neutralité carbone à l’horizon 2050 (« Ademe, Transition(s) 2050, Choisir maintenant, agir pour le climat, de novembre 2021. »).
Parce qu’elles sont basées sur l’exploitation d’organismes vivants et dépendantes d’un environnement toujours plus menacé, les entreprises horticoles et paysagères subissent de plein fouet les crises écologiques.
Les entreprises horticoles et paysagères sont également actrices du changement. Les professionnels du paysage bénéficient ainsi d’une aura qualitative : pour 79 % des Français, ce sont « des gens passionnés » et pour 72 %, « ils réalisent un travail de qualité. »
(« Les Français et le végétal », étude Kantar pour VALHOR et FranceAgriMer, mars 2021)